vendredi 31 octobre 2008

La face cachée de Microsoft

Big Brother machiavélique ou apôtre d'un monde meilleur sous les auspices de la technologie ? Bill Gates et Microsoft n'en finissent pas de susciter critiques et débats passionnés. Loin de cette agitation souvent stérile autour du géant de l'informatique, Le Hold-up planétaire expose clairement les enjeux et les controverses. Sous la forme d'un entretien entre Dominique Nora, grand reporter au Nouvel Observateur, et Roberto Di Cosmo, chercheur en informatique, le livre explique par quels moyens, pas toujours orthodoxes, Bill Gates a réussi à bâtir en toute impunité un véritable monopole à l'échelle de toute la planète. Les dangers sont clairs : à terme, les ambitions démesurées de Microsoft peuvent conduire à un contrôle total sur toute forme de transmission et de traitement de l'information.

Sans tomber dans la paranoïa, Roberto Di Cosmo dénonce cette mainmise autoritaire qui impose à chacun les logiciels Windows ou le navigateur Internet Explorer. Mais si cet ouvrage est un cri d'alarme, il offre aussi une porte de sortie : des alternatives technologiques viables existent, dont le seul défaut est d'être ignorées du grand public. C'est une des ambitions de ce livre que de les faire connaître.

L'informatique et les ordinateurs nous donnent aujourd'hui la possibilité de révolutionner notre façon de vivre au quotidien. Mais cette opportunité est un peu celle de l'auberge espagnole : on trouvera dans cette société de l'information ce qu'on y apporte. Si on continue de laisser Microsoft la construire, elle risque de ressembler à un cauchemar.

La Vie Financière
Le grand méchant loup
Alors que se déroule aux Etats-Unis le procès Microsoft, Roberto Di Cosmo et Dominique Nora éclairent les Français sur la face cachée de cette entreprise et de son fondateur-PDG, Bill Gates, qui dispose d'" un contrôle total sur toute forme de transmission et de traitement de l'information, aussi bien dans l'éducation que dans les transactions bancaires, les actuels et futurs médias et jusque dans l'intimité de notre vie privée ".

Au centre du débat : Windows et Internet. Les auteurs n'y vont pas de main morte pour tenter d'expliquer que les produits Microsoft ne sont pas meilleurs que les autres : " Dans certains cas, il serait même difficile de faire pire ! Si l'on regarde l'histoire de Microsoft, cette médiocrité a une explication logique : l'entreprise n'est absolument pas tendue vers l'excellence, mais vers des impératifs financiers. " Roberto Di Cosmo et Dominique Nora montrent d'autant plus de conviction dans leurs attaques qu'ils estiment que des solutions technologiques existent pour contrecarrer l'hégémonie de Microsoft et que le retard français, loin d'être un handicap, peut se transformer en atout : " Nous avons certes raté un train, mais c'est celui qui est en passe de dérailler ! "

mercredi 29 octobre 2008

Les organisations du pouvoir planétaire


Allez faire un petit tour sur ce site (http://www.syti.net/Organisations.html), et vous verrez par vous-même qui contrôle vraiment la planète. C'est impressionnant quand on sait que les Illuminati qui sont au sommet de toutes ces organisations, se font principalement de l'argent en controlant les banques bien sur, mais en utilisant également la drogue, la pornographie, la prostitution. D'ailleurs allez également lire un des seuls témoignages d'un ancien Illuminati, et vous comprendrez un peu mieux la cruauté des dirigeants "réels" de la planète (http://www.evolutionquebec.com/site/nom/svali.html).

La puce RFID


La radio-identification plus souvent désignée par le sigle RFID (de l'anglais radio frequency identification) est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais). Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collées ou incorporées dans des objets ou produits et même implantées dans des organismes vivants (animaux, corps humain). Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur.
Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires.
Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier :
- les objets comme avec un code à barres (on parle alors d’étiquette électronique) ;
- les personnes en étant intégrée dans les passeports, carte de transport, carte de paiement (on parle alors de carte sans contact).


La très grosse contrainte avec cette puce est que la vie privée de chaque individu ayant une puce sur soi (carte de crédits, passeports, pass de métro ...) pourrait en être vivement affectée puisque toute personne recevant ces ondes, pourrait ainsi localiser ou même identifier cet individu. On peut ainsi dire que chaque individu sera constamment "surveillé".


D'ailleurs cette puce est déjà utilisé sur le corps humain. En effet, au Baja Beach Club, une boîte de nuit située à Barcelone, utilise des pucs sous-cutanés à radiofréquence pour offrir à ses clients VIP une fonction de porte-monnaie électronique implanté dans leur corps même. De même, la ville de Mexico a implanté cent soixante-dix de ces radio-marqueurs sur ses officiers de police afin de contrôler l’accès aux bases de données et aussi dans le but de mettre en œuvre des moyens de localisation en cas de kidnapping.


Peut-être que bientôt, tout le monde sera muni de cette puce et ainsi pourra être localisé n'importe où. Avec son livre 1984, Georges Orwell avait raison, on rentre dans un monde où bientôt et même déjà tous les faits et gestes des êtres humains peuvent être surveillés.

dimanche 26 octobre 2008

L'affaire Omar Raddad

Le meurtre
Le dimanche 23 Juin 1991, Ghislaine Marchal s'apprête à aller déjeuner chez des amis voisins.
À 11 h 48, elle termine une conversation téléphonique avec une de ses amies qui doit venir lui rendre visite le lendemain.
À 13 h 30, s'interrogeant sur son retard, ses voisins téléphonent sans succès à la villa.
Ce jour-là Omar Raddad avait changé son emploi du temps sans prévenir personne, sauf celle chez qui il était allé, Madame Pascal, dans une propriété voisine. Il a déclaré être rentré chez lui pour déjeuner, ce qui n'a pas été confirmé par les différents témoins.

L'agonie
Lardée de douze coups de couteau et de deux coups de poutre par son agresseur au fond de la cave de sa villa, Ghislaine Marchal, pendant son agonie qui a duré près de vingt minutes, aurait commencé par écrire « Omar m’a tuer » (avec la faute de grammaire ; selon la défense, Ghislaine Marchal n'aurait jamais fait une telle faute de grammaire) sans prendre assez de sang sur son doigt. Puis elle aurait recommencé une nouvelle fois un peu plus loin sur une autre porte de la cave, jusqu’à tracer la deuxième phrase « Omar m’a t », inachevée parce qu’elle n’avait plus assez de force, désignant ainsi le coupable.

Le procès
Inculpé d'homicide volontaire, Omar Raddad est écroué. Son procès s'ouvre en février 1994 devant les assises. Maître Jacques Vergès adopte la ligne suivante :
- Dans une mise en scène machiavélique, le véritable meurtrier aurait utilisé la main de Mme Marchal pour faire accuser le jardinier.
- Christian Veilleux, le fils, n'a pas une bonne relation avec sa mère.
- L'amant de la femme de ménage, un personnage connu sous le sobriquet de « Pierrot le Fou », mais les enquêteurs et surtout les deux experts en écriture estimaient (avec une probabilité de deux-tiers), que l'auteur du message était bien Mme Marchal, scellant ainsi le sort du jeune Marocain : dix-huit ans de réclusion criminelle.
Quant à l'analyse génétique, elle n'avait pas été utilisée lors de la découverte du corps de Mme Marchal puisqu'en 1991, cette technique n'en était alors qu'à ses balbutiements.
Le dispositif de fermeture de la porte de la cave démontré par les gendarmes était composé d'un lit pliable, d'une barre en fer et de divers objets lourds. Dès l'arrivée des gendarmes, la porte était verrouillée par ces objets dans cette disposition : la barre était glissée sous la porte, le lit tenait la barre de l'intérieur, permettant à cette dernière de ne pas tomber et de ne pas verrouiller la porte de la cave. Les autres objets étaient placés derrière le lit. Ce dispositif montré par les gendarmes a été contesté par la défense. En effet, il était difficile à mettre en place, mais a néanmoins été utilisé comme preuve contre Omar Raddad à son procès.
Une autre preuve a semblé contestable : la phrase "Omar m'a tuer". Une faute importante que Mme Marchal n'aurait pas pu commettre. En effet, les papiers retrouvés par les gendarmes dans la villa, qui indiquaient les tâches à faire, ne comportaient aucune faute de grammaire.
Le témoignage des deux experts en écriture insistant sur le fait que les inscriptions ont bien été écrites par Ghislaine Marchal emporte la conviction des jurés malgré la marge d'erreur.

La grâce
Le 10 Mai 1996, le président Chirac accorde la grâce partielle à Omar Raddad réduisant sa peine de quatre ans et huit mois. Le décret sera signé le 23 mai. Omar Raddad est libéré le 4 Septembre 1998. Il a eu un comportement irréprochable en détention, d'où l’avis favorable émis en février de cette année-là par le comité consultatif de libération conditionnelle. Omar Raddad retrouve la liberté mais aux yeux de la justice, il demeure coupable.
Omar Raddad, très affecté par cette condamnation, a fait 45 jours de grève de la faim et a tenté de mettre fin à ses jours en avalant des rasoirs.

Les doutes
Le 2 Février 2000, la Commission de révision des condamnations pénales ordonne de nouvelles investigations et notamment, une nouvelle expertise graphologique pour savoir si Mme Marchal est l'auteur des inscriptions "Omar m'a tuer". Deux experts sont nommés : Anne Bisotti et Françoise Ricci D'Arnoux. Le 31 Octobre 2000 ces deux graphologues remettent un rapport de 150 pages dans lequel elles se disent incapables de certifier que la victime est bien l'auteur des inscriptions. Par contre le sang qui a permis la rédaction des messages est bien celui de Ghislaine Marchal.
Le 14 Janvier 2001, la justice ordonne une nouvelle expertise sur un chevron de bois ayant servi à tuer Ghislaine Marchal.
Le 20 Février 2001, l'ADN masculin retrouvé sur la porte de la chaufferie n'est pas celui d'Omar Raddad. Les experts ne peuvent préciser à qui appartient cette empreinte génétique, ni sa provenance.
Selon un témoin, Guy Moyrin, se présentant comme l'ancien chauffeur de Joseph Di Mambro, Mme Marchal aurait été membre de l'ordre du temple solaire et aurait souhaité quitter la secte. Il aurait conduit lui-même les assassins sur le lieu du crime.

samedi 25 octobre 2008

Les plus riches au monde

On connaît bien les stars ou sportifs les plus riches mais troublant comme on ne connait pas tellement les personnes les plus riches au monde. Voici la liste des 10 personnes les plus riches actuellement :
- 1er : Warren Buffett
Age : 77
Fortune : $62.0 milliards
Nationalité : United States
Lieu de résidence : United States, Omaha, Nebraska
Industrie : Investissements.
- 2nd : Carlos Slim Helu
Age : 68
Fortune : $60.0 milliards
Nationalité : Mexico
Lieu de résidence : Mexico City, Mexico
Industrie : Communications.
- 3ème : William Gates III
Age : 52
Fortune : $58.0 milliards
Nationalité : United States
Lieu de résidence : United States, Medina, Washington
Industrie : Software.
- 4ème : Lakshmi Mittal
Age : 57
Fortune : $45.0 milliards
Nationalité : India
Lieu de résidence : London , United Kingdom
Industrie : Fabrication
- 5ème : Mukesh Ambani
Age : 50
Fortune : $43.0 milliards
Nationalité : India
Lieu de résidence : Mumbai , India
Industrie : Fabrication
- 6ème : Anil Ambani
Age : 48
Fortune : $42.0 milliards
Nationalité : India
Lieu de résidence : Mumbai , India
Industrie : Divers
- 7ème : Ingvar Kamprad
Age : 81
Fortune : $31.0 milliards
Nationalité : Sweden
Lieu de résidence : Lausanne , Switzerland
Industrie : Vente
- 8ème : KP Singh
Age : 76
Fortune : $30.0 milliards
Nationalité : India
Lieu de résidence : Delhi , India
Industrie : Biens immobiliers
- 9ème : Oleg Deripaska
Age : 40
Fortune : $28.0 milliards
Nationalité : Russia
Lieu de résidence : Moscow , Russia
Industrie : Divers
- 10 ème : Karl Albrecht
Age : 88
Fortune : $27.0 milliards
Nationalité : Germany
Lieu de résidence : Mulheim an der Ruhr , Germany
Industrie : Vente

Faits Troublants Attentat 11 Septembre 2001


De plus en plus de faits troublants et concordants vont dans le sens d'une remise en question de la thèse officielle et soulèvent la possibilité d'une immense et inquiétante manipulation.

- projets de la mafia Bush pour envahir l'Irak avant même son arrivée à la Maison-Blanche
- recherche d'un prétexte pour justifier cette invasion
- liens entre Ben Laden et la CIA pendant l'occupation russe de l'Afghanistan
- liens financiers entre les familles Bush et Ben Laden (notamment au sein du groupe Carlyle)
- visite d'un agent de la CIA à Ben Laden hospitalisé à Dubai 2 mois avant les attentats
- surveillance des réseaux islamistes délibérément mis en veilleuse pendant les mois précédent les attentats.
- les services secrets français avaient prévenu les Etats-Unis que certains terroristes apprenaient à décoller mais pas à atterir, pourtant ceux-ci ont négligé cette information.
- avions de chasse empêchés d'intervenir pour intercepter les boeings détournés
- nombreuses invraissemblances de la version officielle (impossibilité de retrouver intact le passeport de Mohamed Atta dans les décombres, impossibilité d'un impact d'avion contre le Pentagone...)
- lois liberticides prêtes à etre adoptées seulement 6 jours après les attentats
- absence d'enquête du FBI sur les attentats ( la police et le FBI ont été écartés de l'enquête qui a été confiée à l'armée et classée secret défense)
- enterrement de l'enquête pour retrouver ceux qui étaient manifestement au courrant que les attentats allaient avoir lieu et qui avaient spéculé en bourse sur la chute des actions des compagnies aériennes et des assurances...
- absence totale d'enquête sur l'effondrement de l'immeuble 7
- l'effondrement des deux twins towers et de l'immeuble 7 présentent toutes les caractéristiques d'une démolition contrôlée par explosifs.
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Théorie des explosifs :
D'après William Rodriguez, gardien des tours, et différentes personnes brûlées par ces explosions et évacuées rapidement, des explosions ont eu lieu au sous-sol, niveau B2 ou B3 des tours, avant que les avions ne touchent les tours. M. Rodriguez affirme également que le centre de contrôle de la tour construit après les attentats de 1993 était vide après cette explosion. Il affirme que seule une partie de ces témoignages a été entendue par la commission d'enquête.
Selon une vidéo anonyme auto-publiée sur internet, de nombreux témoignages oraux (policiers, pompiers, journalistes, civils) et documents vidéos, feraient état d'une (voire plusieurs) détonation(s) à la base de la tour 1 environ 9 secondes avant les écroulements.
Selon le site anonyme whatreallyhappened.com, des survivants et des pompiers, auraient entendu ou senti le souffle d'explosions à l'intérieur des tours, à des niveaux inférieurs, longtemps après les impacts des avions.
Selon Alex Jones, certaines de ces explosions furent très violentes, expulsant instantanément et horizontalement des débris à plusieurs dizaines de mètres de distance, ce qui lui semble impossible dans le cas d'un effondrement vertical lié à la seule gravité.
Ces observations ainsi que la forme insolite des effondrements (façon « banane épluchée ») suggèrent que les WTC 1 & 2 auraient été minés à des endroits stratégiques afin d'en assurer l'effondrement, phénomène hautement spectaculaire et largement médiatisé que seuls les impacts d'avions n'auraient pu garantir.
Selon une étude réalisée en 1964, lors de l'élaboration des plans du WTC, le crash d'un Boeing 707 volant à 600 mph (963 hm/h) n'aurait pas causé son effondrement. Selon whatreallyhappened.com, les caractéristiques de cet avion seraient quasiment identiques à celles des avions détournés.
Touhour selon whatreallyhappened.com, la température atteinte par les incendies n'aurait pas été suffisante pour que la fragilisation des structures métalliques provoque l'écroulement. La température de fusion de l'acier étant de 2700°F (1482°C), et la température maximum que peut atteindre le carburant de ce type d'avion étant de 1800°F (982°C) dans des conditions optimales. D'autre part, l'acier des tours a été certifié pour supporter 2000°F (1093°C) durant six heures (preuve en est l'incendie de 1975 dont le WTC s'est sorti avec des dégâts superficiels). L'acier perd déjà 50% de sa résistance mécanique lorsqu'il est chauffé à 500°C, donc bien avant qu'il commence à fondre. Selon le site internet de Jim Hoffman, le rapport du NIST a conclu des quelques échantillons de poutrelles qu'il a pu analyser que le feu n'avait pas dépassé les 250°C et une forte quantité de carburant a brûlé à l'extérieur des tours particulièrement dans le cas de la tour sud et les témoignages des pompiers parvenus au 78e étage n'ont fait état que de deux poches de feu.
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Similitudes avec les nombres une fois de plus :
- Santiago du Chili, 11 septembre 1973, 11h52: des Hawker Hunter de l'armée de l'air bombardent le Palais de La Moneda où s'est retranché quatre heures plus tôt le président Salvador Allende. Le coup d'Etat ne peut plus être arrêté. La dictature du général Pinochet aura pour prix quelque 3.000 morts ou disparus, 40.000 torturés et 200.000 exilés.
- New York, 11 septembre 2001, 10h28: la tour nord du World Trade Center s'effondre à son tour, anéantie comme sa jumelle par l'impact d'un avion de ligne détourné par des kamikazes islamistes. Dans les décombres, également près de 3.000 morts ou disparus.
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Avion ou pas sur le Pentagone ?
Selon le journaliste Thierry Meyssan, auteur du livre "L'effroyable imposture", Ben Laden serait manipulé par la CIA, et aucun avion ne serait tombé sur le Pentagone à Washington. Une série d'éléments (voir http://www.voltairenet.org/article8737.html) renforcent l'hypothèse d'une mise en scène, avec probablement un missile, mais sans avion. Les photos prises avant l'effondrement du bâtiment montrent un impact circulaire au niveau du rez-de-chaussée et du premier étage, sans aucune trace d'impact des ailes de l'avion comme sur le World Trade Center. Par ailleurs, compte-tenu du point d'impact, l'avion aurait du voler au ras du sol et laisser des traces sur la pelouse devant le Pentagone. Or la pelouse est intacte. On n'y voit même pas de débris de l'avion ou des réacteurs (ces images du Réseau Voltaire sont accessibles sur le site asile.org). Il est également étrange que dès le lendemain, des pelleteuses officiellement à la recherche de débris ont littéralement labouré la pelouse, enlevant toute trace de l'absence de traces. Enfin, plusieurs témoins dont des employés du Pentagone interviewés après l'explosion sur CNN et Fox News ont déclaré qu'ils n'avaient pas vu de Boeing, mais qu'ils avaient entendu le sifflement d'un missile.
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Conclusion :
Depuis le 11 Septmbre 2001, dans les pays occidentaux et avec une étonnante synchronisation, les gouvernements (de gauche et de droite) se sont empressés de restreindre les libertés, en adoptant des mesures le plus souvent anti-constitutionnelles. Cette réduction des libertés est une étape indispensable pour briser les résistances à la mondialisation et contraindre les populations à accepter l'inacceptable en préparation : nouvel esclavage instauré par le libéralisme et la mondialisation, surveillance électronique constante des citoyens, implants sous-cutanés de localisation et d'identification. Et à plus long terme, modification génétique de l'homme, implants neuronaux pour le contrôle des esprits, instauration d'une dictature technologique... Mais que va devenir le monde ?

vendredi 24 octobre 2008

Les billets de 5, 20 et 100 dollars

Voici les billets de 5, 20 et 100 dollars, pliés sous une certaine forme.
On remarque bien que le billet de 5 dollars représente une tour, un immeuble. Le suivant, celui de 20, montre cette même tour en feu. Et le dernier, celui de 100, affiche un long panache de fumée, après que la tour se soit effondrée. Hallucinant quand même !