
Futility est un ouvrage de Morgan Robertson. Cette ouvrage raconte la catastrophe d’un grand paquebot nommé Titan. Ce dernier, tout comme le Titanic s’est échoué contre un iceberg avant de sombrer avec un grand nombre de passagers à son bord, faute d’un manque évident de canots de sauvetage.
Ce qui constitue l’originalité de sa prémonition, c’est qu’il a écrit cette histoire douze ans avant la construction du navire. Il faut ajouter, cependant, que la construction du navire fut commencée quelques années plus tard, avec des technologies datant de l'époque où Robertson écrit sa nouvelle.
Voici les coïncidences troublantes entre le livre et le réel naufrage du Titanic :
- L'ouvrage de Morgan Robertson est intitulé :"FUTILITY". Ce mot n'a même pas besoin d'être traduit et il se comprend tout seul et ne peut que trop évoquer la joyeuse fête qui ne cessa de régner à bord durant toute la durée de la traversée, fête qui est directement responsable de l'accident.
- Dans le livre de Robertson, il est très précisément question d'un "transatlantique" alors que l'auteur aurait pu choisir toute autre catégorie de navire existant, or le Titanic était aussi un transatlantique.
- L'auteur attribue à son navire une longueur énorme pour l'époque, soit 800 pieds (environ 243m). Le vrai Titanic était légèrement plus long avec 882 pieds, soit 271 mètres, mais l'idée d'énormité et l'ordre de grandeur sont respectés.
- Robertson fait transporter à son paquebot 3000 passagers, alors que le Titanic n'en transportait que 2207, ce qui peut permettre aux personnes pointilleuses de ne pas accepter la coïncidence. En fait, le décalage entre les deux chiffres s'explique par le fait que le Titanic n'avait pas fait "le plein", car il s'agissait d'une traversée de grand luxe,, mais il pouvait en emporter près de 3000 pour ses traversées ordinaires.
- Mieux, l'auteur a baptisé son navire géant le "Titan", bien sûr, le nom s'imposait du moins dans notre esprit, car les choses sont toujours évidentes, après coup.
- Les armateurs du Titan comme plus tard ceux du Titanic considéraient leur navire comme insubmersible grâce aux cloisons étanches dont ils avaient pourvus leurs navires respectifs.
- Robertson imagine que son Titan fait naufrage et s'engloutit dans les flots dès son premier voyage, ce qui fut exactement le cas du Titanic 14 ans plus tard.
- Ensuite, le Titan, coule , comme le Titanic après avoir heurté un iceberg. Sans être un accident impensable sur les lignes de l'Atlantique nord, le cas n'était pas courant au point de l'imaginer pour un premier voyage.
- L'auteur imagine que le Titan coule pendant le mois d'Avril. On peut difficilement être plus exact au rendez-vous du destin, puisque le naufrage du Titanic eut lieu dans la nuit du 14 au 15 Avril, soit à 24 heures près, exactement, le milieu du mois.
- Selon son auteur, le Titan devait filer 25 nœuds au moment du naufrage, soit naviguer à sa vitesse maximum. C'est exactement ce que fit le Titanic qui filait 23 nœuds, soit aussi à sa vitesse maximum pour une première traversée, " ses machines n'étant pas encore rodées ". Faut-il chicaner pour deux petits nœuds ? Il semble que non, au point où nous en sommes !
- Le Titan de Robertson est supposé sombrer parce que ses cloisons étanches se sont révélées inutilisables, ce qui semble paradoxal pour du matériel neuf. C'est pourtant exactement ce qui se passa pour le Titanic, les cloisons étanches ne fonctionnèrent pas et l'on ne parvint pas à stopper l'irruption de l'eau. Imaginer des cloisons étanches pour amener le drame par leur non-fonctionnement est une idée "vicieuse" en plus, que cela se réalise ainsi le jour du vrai naufrage est une très curieuse coïncidence en effet !
- Sur le Titan, le nombre élevé des victimes s'expliquait par le fait que les ingénieurs avaient commis la faute impardonnable de juger les canots de sauvetage inutiles sur un tel bâtiment en raison des conditions de sécurité tout à fait exceptionnelles qui avaient été prévues. C'est pour cette même raison, nous l'avons déjà dit plus haut, que le Titanic ne disposait que de 20 canots de sauvetage... une sécurité purement symbolique, ni bouées de sauvetage en grand nombre, ni radeaux d'aucune sorte... rien que le néant désespérant au moment du drame.
Ce qui constitue l’originalité de sa prémonition, c’est qu’il a écrit cette histoire douze ans avant la construction du navire. Il faut ajouter, cependant, que la construction du navire fut commencée quelques années plus tard, avec des technologies datant de l'époque où Robertson écrit sa nouvelle.
Voici les coïncidences troublantes entre le livre et le réel naufrage du Titanic :
- L'ouvrage de Morgan Robertson est intitulé :"FUTILITY". Ce mot n'a même pas besoin d'être traduit et il se comprend tout seul et ne peut que trop évoquer la joyeuse fête qui ne cessa de régner à bord durant toute la durée de la traversée, fête qui est directement responsable de l'accident.
- Dans le livre de Robertson, il est très précisément question d'un "transatlantique" alors que l'auteur aurait pu choisir toute autre catégorie de navire existant, or le Titanic était aussi un transatlantique.
- L'auteur attribue à son navire une longueur énorme pour l'époque, soit 800 pieds (environ 243m). Le vrai Titanic était légèrement plus long avec 882 pieds, soit 271 mètres, mais l'idée d'énormité et l'ordre de grandeur sont respectés.
- Robertson fait transporter à son paquebot 3000 passagers, alors que le Titanic n'en transportait que 2207, ce qui peut permettre aux personnes pointilleuses de ne pas accepter la coïncidence. En fait, le décalage entre les deux chiffres s'explique par le fait que le Titanic n'avait pas fait "le plein", car il s'agissait d'une traversée de grand luxe,, mais il pouvait en emporter près de 3000 pour ses traversées ordinaires.
- Mieux, l'auteur a baptisé son navire géant le "Titan", bien sûr, le nom s'imposait du moins dans notre esprit, car les choses sont toujours évidentes, après coup.
- Les armateurs du Titan comme plus tard ceux du Titanic considéraient leur navire comme insubmersible grâce aux cloisons étanches dont ils avaient pourvus leurs navires respectifs.
- Robertson imagine que son Titan fait naufrage et s'engloutit dans les flots dès son premier voyage, ce qui fut exactement le cas du Titanic 14 ans plus tard.
- Ensuite, le Titan, coule , comme le Titanic après avoir heurté un iceberg. Sans être un accident impensable sur les lignes de l'Atlantique nord, le cas n'était pas courant au point de l'imaginer pour un premier voyage.
- L'auteur imagine que le Titan coule pendant le mois d'Avril. On peut difficilement être plus exact au rendez-vous du destin, puisque le naufrage du Titanic eut lieu dans la nuit du 14 au 15 Avril, soit à 24 heures près, exactement, le milieu du mois.
- Selon son auteur, le Titan devait filer 25 nœuds au moment du naufrage, soit naviguer à sa vitesse maximum. C'est exactement ce que fit le Titanic qui filait 23 nœuds, soit aussi à sa vitesse maximum pour une première traversée, " ses machines n'étant pas encore rodées ". Faut-il chicaner pour deux petits nœuds ? Il semble que non, au point où nous en sommes !
- Le Titan de Robertson est supposé sombrer parce que ses cloisons étanches se sont révélées inutilisables, ce qui semble paradoxal pour du matériel neuf. C'est pourtant exactement ce qui se passa pour le Titanic, les cloisons étanches ne fonctionnèrent pas et l'on ne parvint pas à stopper l'irruption de l'eau. Imaginer des cloisons étanches pour amener le drame par leur non-fonctionnement est une idée "vicieuse" en plus, que cela se réalise ainsi le jour du vrai naufrage est une très curieuse coïncidence en effet !
- Sur le Titan, le nombre élevé des victimes s'expliquait par le fait que les ingénieurs avaient commis la faute impardonnable de juger les canots de sauvetage inutiles sur un tel bâtiment en raison des conditions de sécurité tout à fait exceptionnelles qui avaient été prévues. C'est pour cette même raison, nous l'avons déjà dit plus haut, que le Titanic ne disposait que de 20 canots de sauvetage... une sécurité purement symbolique, ni bouées de sauvetage en grand nombre, ni radeaux d'aucune sorte... rien que le néant désespérant au moment du drame.
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